J'ai du rêver trop fort

Publié le par Marie

De Michel Bussi

Publié chez Pocket en 2020

34 ème jour de confinement, j'ai vraiment besoin de m'évader... et donc j'alterne un roman facile, un avec du suspens et quelques lectures bouddhistes... A cela s'ajoute quelques trucs pour le boulot, et voilà mon programme de lecture pas trop mal rempli!

Donc après avoir terminé, "l'hermine de Mallaig", me voilà à nouveau à la recherche d'un peu d'adrénaline... Et bien mal m'en a pris. Ce roman commence comme un arlequin à l'eau de rose, avec un peu de mystère, de la magie... Déception! Je n'ai pas signé pour une grande histoire d'amour, même si on sait dès les 1ère pages qu'elle va mal finir. Bref il a fallu que je m'accroche!  Bussi ne m'a jamais déçue, ce n'est pas aujourd'hui qu'il va commencer. Donc passé le côté sentimentalo-niais, le manque de rebondissement, l'absence de suspens, j'ai quand même eu envie de connaître le fin mot de l'histoire. Mouais.... si tu le dis Bussi, mais là je ne suis pas convaincue du tout! La fin est effectivement une vraie surprise, sans doute parce qu'elle est tout bonnement impossible! Je ne veux pas gâcher le suspens, je n'en dirais pas plus à part que c'est vraiment la 1ère fois que je n'ai pas accroché! Quelle déception après les Nymphéas noirs (même si mon préféré reste quand même "comme un avion sans elle"!

Résumé Babélio

Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?

 

 

Publié dans bof bof

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